Si on supprimait les châtiments, plus personne ne serait en sécurité.6 |
Écrit par Stéphane
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13-03-2010 |
Les châtiments sont fluctuants au cours de l'Histoire. Caroline Cardi, sociologue (cf. Libération du 3 novembre 2006) rappelle que : « Vers 1850, il y avait 20% de femmes dans les prisons, et 33% à la fin du 18ème siècle. Avant la Révolution, la prison était en fait réservée aux femmes et aux enfants, les hommes étaient envoyés aux galères. » Aujourd'hui, 3,8% des détenus sont des femmes. Ce n'est pas qu'elles soient devenues « moins dangereuses », mais que certains actes comme le « vol de bois », l'avortement ont été dépénalisés. Il est clair que la légalisation de la drogue ferait énormément chuter les chiffres de la délinquance.
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